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MAXIMILIEN LUCE (1858-1941) LE REPOS DES CONSTRUCTEURS, QUAI MALAQUAIS Huile sur papier marouflé sur toile Signée en bas à droite Oil on paper laid on canvas; signed lower right 41,5 X 51,5 cm - 16 3/8 x 20 1/4 in. PROVENANCE Vente, Lyon, Rue des Tuiliers, 27 octobre 1980. Collection particulière, France. BIBLIOGRAPHIE Denise Bazetoux, Catalogue de l’œuvre peint, Tome II, éditions JBL, Paris : 1986, décrit sous le n°326 et reproduit en noir et blanc p. 87. «Dans son œuvre, [Luce] choisit de privilégier l’univers des ouvriers et des artisans car c’était celui qu’il connaissait le mieux. Verhaeren nota qu’à l’instar de Meunier, Luce aimait l’ouvrier et que ses dessins réclamaient ‘de la justice et de la pitié’. Mais le poète remarqua aussi, très justement que ‘tout autre est sa peinture. Le souci d’art y domine toute latérale préoccupation’. [...] Luce fut séduit par le spectacle de la ‘ville qui monte’ et, comme les peintres futuristes en Italie ou comme Fernand Léger quelques années plus tard, il consacra plusieurs tableaux aux constructeurs.» Marina Ferretti Bocquillon, «Maximilien Luce, néo-impressionniste : un ‘barbare mais robuste et hardi’», in Maximilien Luce, néo-impressionniste, Rétrospective, Catalogue d’exposition, Giverny, Musée des impressionnismes, 28 juillet-3 octobre 2010, Silvana Editoriale-Musée des impressionnismes Giverny, Milan-Giverny : 2010, pp. 20-21.
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MAXIMILIEN LUCE (1858-1941) LE REPOS DES CONSTRUCTEURS, QUAI MALAQUAIS Huile sur papier marouflé sur toile Signée en bas à droite Oil on paper laid on canvas; signed lower right 41,5 X 51,5 cm - 16 3/8 x 20 1/4 in. PROVENANCE Vente, Lyon, Rue des Tuiliers, 27 octobre 1980. Collection particulière, France. BIBLIOGRAPHIE Denise Bazetoux, Catalogue de l’œuvre peint, Tome II, éditions JBL, Paris : 1986, décrit sous le n°326 et reproduit en noir et blanc p. 87. «Dans son œuvre, [Luce] choisit de privilégier l’univers des ouvriers et des artisans car c’était celui qu’il connaissait le mieux. Verhaeren nota qu’à l’instar de Meunier, Luce aimait l’ouvrier et que ses dessins réclamaient ‘de la justice et de la pitié’. Mais le poète remarqua aussi, très justement que ‘tout autre est sa peinture. Le souci d’art y domine toute latérale préoccupation’. [...] Luce fut séduit par le spectacle de la ‘ville qui monte’ et, comme les peintres futuristes en Italie ou comme Fernand Léger quelques années plus tard, il consacra plusieurs tableaux aux constructeurs.» Marina Ferretti Bocquillon, «Maximilien Luce, néo-impressionniste : un ‘barbare mais robuste et hardi’», in Maximilien Luce, néo-impressionniste, Rétrospective, Catalogue d’exposition, Giverny, Musée des impressionnismes, 28 juillet-3 octobre 2010, Silvana Editoriale-Musée des impressionnismes Giverny, Milan-Giverny : 2010, pp. 20-21.
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